Nouvelle île : Panay. Tout se passe toujours bien et nous prenons beaucoup de plaisir à circuler sur des routes idéales pour le vélo.

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La mer est calme entre Guimaras et Pinay, le capitaine du ferry n'a même pas jugé utile de relever la porte d'embarquement.

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L'église Santo Tomas de Villanueva à Miag-Ao.

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Pêcheurs sur la plage de Miag-Ao. Beaucoup d'énergie pour un maigre résultat : le filet était essentiellement rempli de méduses.

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Les talongs (aubergines) font partie des légumes présents dans la cuisine philippine.

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La route sert également de terrain de basket-ball.

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Ped xing ? C'est de l'Anglais. En devinez-vous la signification ?

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Et voilà 4000 km parcourus !

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Route de rêve... avec le vent dans le dos en prime !

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Alternance de paysages.

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Les rizières verdissent dès qu'un peu d'eau arrive des montagnes.

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Nous sommes sur une île et la mer n'est jamais loin. La route offre de belles vues dont nous vous faisons profiter.

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Nous choisissons les routes qui passent au plus près de la côte.

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Le ciel et la mer se disputent le plus beau bleu.

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Plage de sable blanc corallien.

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Plage de sable noir descendu des volcans.

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Îlots calcaires.


       
Comme promis nous allons vous parler des combats de coqs. Pour réaliser ce reportage nous nous sommes rendus dans une des nombreuses arenas dediées à ce "sport" dominical. Nous choisissons un cockpit rural pour son ambiance "authentique".

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Un des gladiateurs qui sera lâché dans l’arène pour un combat à mort.
Les coqs de combat sont amputés de leur crête, mutilation laissant moins de prise à leur adversaire.

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Ces combats sont avant tout une histoire de paris d'argent. Au centre de l'arène, un podium pour le ring.

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Le cérémonial des paris est incompréhensible : beaucoup de cris mais pas d'argent visible.

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Le combat se prépare. Le coach excite son champion en lui présentant son adversaire.

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Il ne s'agit pas d'un combat à mains nues. Les bêtes sont équipées d'un long sabre tranchant comme une lame de rasoir et fixé à l'une de leurs pattes.

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Ici le sabre est encore dans son fourreau.

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Le combat démarre très rapidement.

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En moins de 2 minutes, une bête reste à terre. L'arbitre présente les adversaires pour une éventuelle reprise du combat jusqu'à qu'un des deux soit incapable e se relever. Le vaincu sera rendu à son propriétaire qui l'achèvera et le plumera au sortir de l'arène.

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Le glorieux vainqueur passe entre les mains du chirurgien. Notez la taille du sabre, disproportionnée par rapport à celle de l'animal.

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On ne fait pas de sentiment; les bêtes de combat rafistolées reviendront dans l'arène après leur convalescence.


       
Nous poursuivons notre promenade d'île en île.
De Negros nous passons à Guimaras.

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Toilette à la fontaine du ponton de Valladolid.

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Pas de ferry pour nous aujourd'hui. Une bangka nous embarque pour 2 heures de navigation sur une mer d'huile.

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Nos compagnons de traversée.

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Arrêt en cours de route pour approvisionner la petite île de Naval.

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L'arrivée au ponton de Calabagnan est un peu acrobatique. Nous préférons laisser les marins débarquer nos vélos.

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Une partie de l'île de Guimaras est couverte de manguiers.

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Passage chez le tondeur. La statue à gauche doit être Saint-Merlan, patron des coiffeurs.


       
Grand plaisir cyclotouriste de circuler sur l'île de Negros.
Les conditions sont parfaites : beau temps, belles routes et peu de voitures.

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La culture de la canne à sucre couvre une bonne partie de l'île. Tout est fait à la main, même le chargement acrobatique des camions.

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De la canne à sucre à droite, à gauche, ... derrière et devant !

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Ce camion chargé de canne à sucre s'est renversé juste devant nous.

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Tricycle pour 6 personnes... ou 12 collégiens !

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Fleur de bananier.

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Cyclotouriste au long cours dans sa tenue tropicale.

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Le volcan Kanlaon (alt 2435 m).

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Le volcan Kanlaon au lever du jour.

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Les panneaux destinés aux camion de canne à sucre s'appliquent aussi pour nous. Nous allons tout passer à gauche (petit plateau et grand pignon pour les non initiés).

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Arrêt au car-wash.

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A Silay, les magnats exploitant le sucre ont construit de belles demeures.

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Les philippins ont su conserver ce patrimoine.

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Jose Benedicto Gamboa Ancestral House.

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Hofilena Heritage House.

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Le famille de Yves-Leopold Gaston a largement contribué au développement de l'industrie sucrière à la fin du XIXè S. en introduisant de la machine à vapeur (Cocorico!!!!). Sa demeure est devenue le musée Balay Negrense.

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Le musée Balay Negrense.

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Le musée Balay Negrense. La salle de réception très aérée.

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Bacolod est la plus grande ville de Negros. La cathédrale San Sebastian.

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Nouveau contrôle. Josée est apte à poursuivre la route.

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Au fait, nous avons assisté à un combat de coqs. Vous aurez bientôt droit à un article sur ce sujet.