Comme promis nous allons vous parler des combats de coqs. Pour réaliser ce reportage nous nous sommes rendus dans une des nombreuses arenas dediées à ce "sport" dominical. Nous choisissons un cockpit rural pour son ambiance "authentique".
Un des gladiateurs qui sera lâché dans l’arène pour un combat à mort. Les coqs de combat sont amputés de leur crête, mutilation laissant moins de prise à leur adversaire. |
Ces combats sont avant tout une histoire de paris d'argent. Au centre de l'arène, un podium pour le ring. |
Le cérémonial des paris est incompréhensible : beaucoup de cris mais pas d'argent visible. |
Le combat se prépare. Le coach excite son champion en lui présentant son adversaire. |
Il ne s'agit pas d'un combat à mains nues. Les bêtes sont équipées d'un long sabre tranchant comme une lame de rasoir et fixé à l'une de leurs pattes. |
Ici le sabre est encore dans son fourreau. |
Le combat démarre très rapidement. |
En moins de 2 minutes, une bête reste à terre. L'arbitre présente les adversaires pour une éventuelle reprise du combat jusqu'à qu'un des deux soit incapable e se relever. Le vaincu sera rendu à son propriétaire qui l'achèvera et le plumera au sortir de l'arène. |
Le glorieux vainqueur passe entre les mains du chirurgien. Notez la taille du sabre, disproportionnée par rapport à celle de l'animal. |
On ne fait pas de sentiment; les bêtes de combat rafistolées reviendront dans l'arène après leur convalescence. |
Le déroulement de ces combats n'à pas changé...il y a 40 ans j'avais assisté à l'un d'entre eux à Bali
RépondreSupprimerMerci pour ce beau voyage aux Philippines